Fricot de morue à la Provençale

Portions : 4 personnes

Préparation : 30 minutes

Cuisson : 30 minutes

Ingrédients

500 g de morue dessalée
1 poireau petit
350 g de pommes de terre
2 gousses d’ ail
0.5 bouquet de persil
200 g de coulis de tomate
50 g d’ olives noires
1 cuillère à café de câpres
1 feuille de laurier
huile d’olive
sel, poivre

Ustensiles
cocotte en fonte ou…
sauteuse

Instructions

Faire dessaler la morue si elle ne l’est pas déjà.
Vous pouvez vous référer à l’article Dessaler la morue.

Couper le pied et les feuilles du poireau (ne les jetez pas, vous pourrez cuisiner d’excellentes recettes avec !).
Rincer et découper le blanc en morceaux.

Peler et rincer les pommes de terre.
Les couper en morceaux et réserver.

Retirer la peau de la morue.
Mettre la morue à frire dans de l’huile d’olive bien chaude, pendant environ 5 minutes.

Elle doit être un peu dorée mais rester souple.

Sortir la morue, garder l’huile et y faire revenir légèrement le blanc de poireau.
Donner un tour, et ajouter les pommes de terre en morceaux et les faire dorer pendant 5 minutes.

Pendant ce temps, peler et dégermer l’ail, rincer et hâcher le persil.
Ajouter ail et persil dans la poêle, ainsi que le coulis, les olives et faire cuire pendant 2 minutes.

Faire bouillir de l’eau et en recouvrir la préparation.
Ajouter le laurier, un peu de sel (il y en a déjà dans les olives), et bien poivrer.

Faire mijoter à feu doux et à découvert pendant 10 minutes.
Les pommes de terre doivent être presque cuites.

Ajouter la morue frite et laisser encore mijoter pendant 5 minutes.

Notes

QUE BOIRE AVEC CE FRICOT DE MORUE A LA PROVENCALE : on va rechercher un vin qui soutienne le caractère méditerranéen tout en respectant la délicatesse de la morue.

Un vin blanc méditerranéen, sec et aromatique, comme un Cassis, un Bandol blanc, un Côtes-de-Provence blanc ou un Picpoul de Pinet, qui offrira fraîcheur et notes florales pour équilibrer le plat.
Un rosé de Provence ou de Bandol, frais, structuré, capable de supporter l’olive noire et la tomate tout en gardant de la légèreté.
Un rouge léger, peu tannique, si tu préfères le rouge, comme un Côtes-du-Rhône léger ou un vin du Languedoc peu extrait, servi légèrement rafraîchi.

À éviter : les rouges trop tanniques ou boisés, qui écraseraient la morue et accentueraient l’amertume des olives.