Si vous avez envie d’offrir autre chose que des alcools du commerce en guise d’apéritif, ce vin de buisson, encore appelé vin d’épine est fait pour vous ! Je vous en propose ici la recette, telle que mon père la prépare en Dordogne. Il nous en gratifie d’ailleurs chaque année d’une nouvelle cuvée.
Le prunelier est un arbuste qu’on peut trouver à l’état sauvage, ou bien souvent utilisé en tant que haie. Dans cette recette on utilise ses pousses (jeunes branches), cueillies au printemps, pour produire ce délicieux breuvage.
Vos convives apprécieront à coup sûr son subtil goût de griotte, et seront d’autant plus étonnés d’apprendre qu’aucun fruit n’entre dans sa composition (à part la prune dans l’eau de vie bien sûr 🙂 ).
Essayez-donc de leur faire deviner la composition de ce vin d’épine, c’est un véritable jeu à chaque fois !
Moi je fait comme ça déjà depuis plus de vingt ans. plus il est vieux, plus il est madérisé, plus il devient savoureux.
Honnêtement, c’est plus savoureux que le porto
« Aucun fruit n’entre dans sa composition » ? Et l’eau de vie de prune, elle est faite à partir de quoi ? 😂
Sinon recette très sympa que je fais tous les ans et qui me vient de mon grand-père périgordin
Une tuerie cet apéritif, les invités en redemandent à chaque fois !
Hé hé merci Juju, c’est une institution dans la famille ce vin !
ai dejà fait l année derniere et trouve cette recette exta demain je refais les buissons sont bon a point